Pilier techno-critique

Nous apportons une vision techno-critique dans le contenu de nos ateliers, mais aussi dans leur organisation et notre propre organisation.

Nous travaillons sur le fait de permettre à des personnes n’ayant pas ou peu de technologies numériques d’avoir accès aux mêmes choses que les autres
Pour ce faire :
– L’ensemble des choses que vous retrouvez sur ce site sont disponibles en version papier lors de nos ateliers, que ce soit le calendrier des prochains événements, les articles ou bien les informations liées au collectif
– Chacun des événements a aussi une communication qui est faite de façon physique dans les zones où l’événement à lieu
– Lorsque l’inscription est obligatoire pour la participation à un événement public, il est toujours possible de la faire dans un lieu situé dans la zone de l’événement
– Si vous souhaitez être tenue au courant des prochaines saisons, nous pouvons vous inscrire à l’info-lettre afin que l’on vous envoie par lettre postale ces informations, cette inscription ne peut se faire qu’en physique

Nous avons une vision assez particulière des technologies, en tant qu’anti-néocolonialiste, nous considérons que les Occidentaux modernes – que nous sommes – sont des oppresseurs vis à vis des anciennes colonies (et d’autres régions du monde) lorsque nous utilisons notre smartphone pour le plaisir. Mais aussi qu’avec ce comportement nous sommes des oppresseurs pour les générations futures qui devront pâtir de notre addiction et de notre dépendance non contrôlée des nouvelles technologies, en partie dut à notre soif d’efficacité personnelle (le fait de vouloir être efficace dans sa vie personnelle) et notre besoin d’efficacité professionnelle (obligé par cette concurrence constante face à des acteurs industriels sans réel éthique autre que l’efficacité et parfois la loi, mais pas que). Plus important que la critique des technologies d’un point de vue colibriste, nous critiquons principalement la société techno-industrielle et le désastre écologique et social qui est en cours.

Nous travaillons au quotidien à réduire notre dépendance aux technologies industrielles, par exemple, actuellement nous cherchons un endroit où recevoir des lettres pour pouvoir être contacté sans utiliser d’outils numériques.